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La CGT en Mission Locale

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Ludovic Mourault, DS CGT, passe à l’offensive contre sa direction !

10 avril 2020 di hi Actualités, Communiqués, Hauts-de-France

Ludovic Mourault, DS CGT, contre-attaque la direction de sa Mission Locale !

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Édito

40 années de Missions Locales : que célèbre-t-on, célébrer quoi ?

S’agit-il de rentrer dans la discussion sémantique pour déterminer si l’on doit commémorer, célébrer ou fêter la création des missions locales en 1982 ?

Ordonnance de mars, Circulaire d’avril, peu importe, cela fait 40 ans que la Jeunesse – au moins en partie – pour certains en demande d’insertion pour d’autres mise en difficulté, cela fait donc 40 ans que des missions locales l’accompagne.

Les missions locales restent, les dispositifs défilent au gré des gouvernements, ce qui met en question l’existence d’une véritable politique en direction de la Jeunesse et celle dite « en difficulté ».

Dès lors, doit-on célébrer une institution, parce que les missions locales se sont fortement – sans doute trop – institutionnalisées ?

Doit-on célébrer 40 années de difficultés d’insertion pour au moins plus d’un million de jeunes chaque année ?

Doit-on refaire l’histoire des missions locales pour en regretter ou en apprécier l’évolution ?

Doit-on célébrer l’emprise de l’État sur les missions locales ou la soumission de l’UNML, syndicat patronal, aux ordres du Gouvernement ?

Sans doute préférons-nous aller de l’avant en proposant une structuration justement en lien avec cette évolution, c’est le cas du projet d’Agence Nationale (ANAIJ) par exemple.

En tant qu’organisation syndicale, c’est également et avant tout les conditions de travail que nous voyons se dégrader au fil des ans, doit-on célébrer cela ?

De ce point de vue, nous devons afficher nos revendications pour améliorer nos salaires, nos évolutions professionnelles, la santé au travail etc…

En conclusion, la question est de savoir, plutôt que quoi célébrer, surtout qui célèbre ? Les patrons se gargariseront de ces 40 ans avec le gouvernement, tandis que la CGT dira haut et fort que ces 40 années se sont construites à la force du travail des salarié.es tout autant que sur leur dos !

Pendant ce temps-là se profile le spectre de « France Travail »…